Rarissime sont les femmes qui avancent un regard positif et bienveillant sur leurs seins, elles rêveraient généralement de les avoir plus petits, plus ronds, plus gros et fermes. C’est forcément suite à des complexes... on cherche à apprendre à faire la paix avec notre poitrine, cet Attributs assez emblématiques de séduction et de féminité. Les femmes sont souvent jugées sur le l’aspect esthétique de leurs seins ; des Seins trop plats, trop petits, trop gros, tombants, en poire ou en gants de toilettes, d’un aspect asymétrique disgracieux... Le jugement porté par les femmes sur leur poitrine est généralement d'une sévérité ardente. Si l'on éprouve souvent des hantises pour pas mal de parties du corps, les seins tendent à avoir le haut du classement. Afin de dévoiler ce lien si mystérieux entre les femmes et leurs seins, trois femmes se livrent et témoignent pour CONSEIL CHIRURGIE :
Céline 27 ans : elle a hérité des seins en disharmonie d’un aspect asymétrique, les mêmes de sa mère. "Je l'ai souvent entendue s'en plaindre d’une manière régulière et insistante. Là forcément, moi aussi j'ai compris que j'aurais malheureusement cette particularité, j'en ai beaucoup souffert lors de ma phase adolescente et j'en souffre encore actuellement. Je pense infiniment à la chirurgie esthétique pour remédier à ce défaut, mais j'ai un sentiment de crainte et de peur, j’ai des doutes, et je crois ainsi que je n'ose pas à le faire vis à vis de ma mère, par respect. Comme si refaire mes seins impliquait de lui reprocher cette particularité, comme si je lui reproché son 'anormalité'."
Solène 18 ans : le rapport avec mes seins était d’une forte complexité, en les voyant j’avais un sentiment tenace et destructeur, revenant avec le temps Ça marchait bien au début je n’avais pas réellement de problème jusqu’à ce que mon premier amoureux, avec qui c’était très intense et sérieux, discute de m’enlever ces fameux vêtements qui cachait mes pires complexes. Comment ose-je lui avouer que je voulais garder mon soutif ? Il était impossible pour moi, inadmissible qu’il voie mes seins. Ma relation avec cet attribut de moi n’était que de haine de mépris et d’inconfort. Quand j’ai fait mes18 ans, j’irais sur Internet à la quête de plus d’informations sur l’opération esthétique de la ptose mammaire, j’ai pris mon courage à deux mains et je me suis offerte une intervention d’augmentation mammaire avec un implant rond. Et depuis, je m’achète tous les jours des soutiens-gorge toute en splendeur, avec de la dentelle et des strass, ça m’arrive de sortir aussi les seins libres en revendiquant plus de confiance, de liberté et du confort.
Carine 48 ans : après nombreuses pertes importantes de poids et forcément des reprises par la suite, je me suis trouvée avec des seins en poire, tombants avec une aréole qui penche vers le bas, la société dans laquelle on vit, nous impose des stéréotypes et des normes de beauté et de féminité.. "Au final, j’ai pris la décision de les faire remonter et j'ai mis des prothèses mammaires. La solution chirurgicale esthétique procure beaucoup de sérénité et de bien-être physique mais surtout psychologique. Je commence à réaliser réellement QUE MES SEINS M’APPARTIENNENT.
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